[Liminaire] [Simon Sylvius dit J. de La Haye],
A tresillustre et treschrestienne Princesse, Madame la Princesse de Navarre, J. de la Haye son treshumble serviteur, souhaitte entiere prosperité,
« Plus tost verrons, ô tresillustre Princesse », p. 3-11
[Liminaire] Scève Maurice,
Aux Dames des vertus de la tresillustre et tresvertueuse Princesse Marguerite de France, Royne de Navarre devotement affectionées. M. Sc.,
« Bien que je sois la plus clere d'icy », p. 12
[Liminaire] Marguerite de Navarre,
Marguerite de France, Soeur unicque du Roy par la grace de Dieu Royne de Navarre, au Lecteur,
« Si vous lisez ceste oeuvre toute entiere », p. 13-14
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Le miroir de l'ame pecherresse,
« Où est l'enfer remply entierement », p. 15-70
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Discord estant en l'homme par la contrarieté de l'esperit et de la chair : et sa paix, par vie spirituelle. Qui est annotation sur la fin du 7 ch. et commencement du 8 de l'epistre sainct Paul aux Rom.,
« Noble d'esprit, et serf suis de nature », p. 71-77
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Oraison de l'Ame fidele, à son seigneur Dieu,
« Seigneur, duquel le siege, sont les Cieux », p. 77-135
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Oraison à nostre seigneur Jesuchrist,
« Mon createur qui avez congnoissance », p. 135-147
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Comédies bibliques,
« [Incipit non renseigné] », p. 148-380
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Le Triomphe de l'Agneau,
« Tous les Esleus et Souldars du Vainqueur », p. 381-443
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Complainte pour un detenu prisonnier,
« S'il est ainsi, comme tresbien je croy », p. 444-466
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Chansons spirituelles [1 à 33],
« [Incipit non renseigné] », p. 467-541
[Post-Liminaire] [Amour demourra le maistre],
Sonnet,
« L'Esprit de Vie en corps de Mort mussé », p. 542
[Liminaire] Scève Maurice,
A tresillustre et tresvertueuse Princesse Madame Jane Infante de Navarre. M. SC.,
« La Marguerite, ou la celeste Aurore », 2e partie, p. 2 [liminaire à la Suyte des Marguerites]
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
La fable du faulx cuyder contenant l'histoire des nymphes de Dyane, transmuées en saulles,
« Le mal qui est l'absence de tout bien », 2e partie, p. 3-37
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre de la Royne de Navarre, au Roy Françoys son frere,
« Le serviteur, fidele renommé », 2e partie, p. 38-45
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre II envoyée par la Royne de Navarre, avec un David au Roy François, son Frere, pour ses estreines,
« David voyant que par Mer et par Terre », 2e partie, p. 46-53
[Pièce insérée] François Ier,
Response envoyée par le Roy François à ladite Dame, avec une sainte Catherine pour ses estreines,
« Or pleust à Dieu par sa grande bonté », 2e partie, p. 54-57
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre III de la Royne de Navarre, au Roy François, son frere,
« Après la peur de quelque trahison », 2e partie, p. 58-64
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre de la Royne au Roy François son frere,
« Puis que voz yeux rempliz d'autre lumiere », 2e partie, p. 65-71
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre de la Royne de Navarre, au Roy de Navarre, malade,
« Celle qui pour eslongner vostre veüe », 2e partie, p. 72-75
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Les quatre Dames, et les quatre Gentilzhommes,
« Est il ennuy, qui soit au mien semblable ? », 2e partie, p. 76-177
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Comedie [des quatre Femmes],
« Tout le plaisir, et le contentement », 2e partie, p. 178-211
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Farce de Trop Prou Peu Moins,
« Qui voudra sçavoir qui je suis », 2e partie, p. 212-264
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
La Coche,
« Ayant perdu de l'aveugle vainqueur », 2e partie, p. 265-323
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
L'Umbre,
« Amour en qui vertu est toute enclose », 2e partie, p. 323-328
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
La mort et resurrection d'Amour. Vers Alexandrins,
« J'ay veu les yeux desquelz Amour cruel tyrant », 2e partie, p. 328-331
[Pièce insérée] Auteur anonyme,
Chanson faite à une dame, sur laquelle la Royne ha fait la responce suyvante,
« Je vous supply entendez moy », 2e partie, p. 332-333
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Responce,
« De ton œil le regard je voy », 2e partie, p. 334-336
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Les Adieu des Dames de chez la Royne de Navarre, allant en Gascongne, à ma Dame la Princesse de Navarre,
« L'Adieu ne doit se dire tant que l'œil », 2e partie, p. 337-341
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Enigmes,
« Deux poinsons font une pippe,L'un luy disoit : helàs, ma Damoiselle », 2e partie, p. 342